Lui, César, la trentaine, 1 bon Mètre 80
Là tu te dis Nanouche va me parler de son chéri, eh bien NON !
Je vais te parler d’un artiste qui se nomme César !
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Là tu te dis Nanouche va me parler de son chéri, eh bien NON !
Je vais te parler d’un artiste qui se nomme César !
Hier,
Alors que je me balladais avec mon ami Garry dans les rues de Paris à la recherche d'un plan, nous sommes tombés sur un K.
Le K en question était un jeunhomme bien éméché, bien cassé (bouts de verres sur le visage ensanglanté, chicots en moins) bref le K m'a un peu angoissé.
Je ne sais pourquoi, ce jeunhomme a décidé de nous prendre à parti, et de nous insulter. huuuum j'ai adooooré. Cet homme venait de se faire voler ses affaires et son chien. On y etais pour quoi nous! Rien! Mais ils nous a tout mis sur le dos. A mon avis, il a du me prendre pour le Sheriff de la ville, sachant qu'hier j'etais habillée en jeans, chemises a carreaux avec gros ceinturons plus Santiags. Mais que voulez vous que j'y fasse moi. Mon cheval étant resté au TEXAS, je ne pouvais l'aider à retrouver ses affaires.
Bref ce qu i m'a fait plaisir, c'est que durant ces 10 bonnes minutes de tortures à se faire insulter, la seule chose qui m'a fait peur était que cet homme frappe mon pote! et Garry (mon ami qui me veut du bien) avait la même peur!
Cet alors que plusieurs questions s'ouvrent à moi :
- quel degré de violence ou déception peut on vivre afin de s'en prendre à des gens dans la rue sans aucune raison?
- Pourquoi est ce dans les moments critiques que nous nous apercevons de l'importance des gens qui nous entourent? (sérieux, je me voyais déjà sur le dos du mec à le degommer car il frappait mon pote! non mais oh c'est la famille quoi!)
Toutes ces questions sont pour l'instant sans réponses mais je trouverais!
Heureusement la soirée s'est mieux terminée!!!